Il est évident pour nous que la culture est une matière majeure dans le rôle de l’émergence de la conscience individuelle et collective : rôle principal de l’opérateur culturel.

Nous croyons au binôme de l’économie et de la culture. Ces deux notions combinées doivent produire des activités et des services à but lucratif pour sauvegarder une partie du secteur culturel autonome. L’économie de la culture, à ne pas toujours confondre avec l’industrie culturelle, peut donner le moyen à des personnes, des lieux, des institutions, des collectifs, des entreprises ou des fondations, de produire des valeurs commercialisables et de vivre de ses activités.

Il ne s’agit pas de dénaturer le sens profond des intentions artistiques et culturelles, au contraire de les protéger et de les aider à s’épanouir dans les marchés, dans le monde de l’économie.

Nous estimons que tous les moyens de communications ne sont pas “éthiques”. La stratégie doit à la fois servir la visibilité d’un projet et respecter sa cible. En somme, le prétexte de diffusion n’est pas une légitimité d’agression ou d’exagération.

Nous nous positionnons comme intermédiaire (écoute, adaptation, analyse) entre le client et ses contraintes ou ses interlocuteurs, pour le soutenir dans son recrutement, dans sa réorganisation, dans sa méthodologie de travail par exemple.